Laisser pleurer un tout-petit avant de dormir ?.
de Frédérique Hirn In Le journal des professionnels de l'Enfance, 123 (mars-avril 2020), p. 18-21 En ligne : http://jdpe.fr/ Les parents comme les professionnels sont tiraillés entre les résultats apparemment et parfois contradictoires de recherches scientifiques. D'un côté, les neurosciences recommandent de ne pas laisser pleurer l'enfant pour assurer un attachement sécure, de l'autre la méthode cognitivo-comportementale met en avant l'intérêt de laisser l'enfant s'apaiser seul. Ne faudrait-il pas nuancer ces apports scientifiques comme ajuster les effets du stress et des pleurs sur le cerveau de l'enfant, selon leur intensité tout en tenant compte des étapes du développement de l'enfant ? Le besoin de proximité de l'enfant ne peut-il être apaisé par d'autres voies que la prise dans les bras telles que la voix, le contact visuel ? Ne conviendrait-il pas de considérer la particularité de chaque situation et la singularité de chaque enfant ? |
Hirn Frédérique.
« Laisser pleurer un tout-petit avant de dormir ?. »
in Le journal des professionnels de l'Enfance, 123 (mars-avril 2020), p. 18-21.
Disponible sur : <http://jdpe.fr/>, consulté le :
Titre : | Laisser pleurer un tout-petit avant de dormir ?. (2020) |
Auteurs : | Frédérique Hirn, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Le journal des professionnels de l'Enfance (123, mars-avril 2020) |
Article : | p. 18-21 |
Descripteurs : | petite enfance / psychologie de l'enfant / sommeil |
Tags : | Pleurs |
Résumé : | Les parents comme les professionnels sont tiraillés entre les résultats apparemment et parfois contradictoires de recherches scientifiques. D'un côté, les neurosciences recommandent de ne pas laisser pleurer l'enfant pour assurer un attachement sécure, de l'autre la méthode cognitivo-comportementale met en avant l'intérêt de laisser l'enfant s'apaiser seul. Ne faudrait-il pas nuancer ces apports scientifiques comme ajuster les effets du stress et des pleurs sur le cerveau de l'enfant, selon leur intensité tout en tenant compte des étapes du développement de l'enfant ? Le besoin de proximité de l'enfant ne peut-il être apaisé par d'autres voies que la prise dans les bras telles que la voix, le contact visuel ? Ne conviendrait-il pas de considérer la particularité de chaque situation et la singularité de chaque enfant ? |
Nature du document : | documentaire |
En ligne : | http://jdpe.fr/ |