Bas les coeurs !
de Georges Darien Wikisource, 015] En ligne : https://fr.wikisource.org/wiki/Bas_les_c%C5%93urs_! 1870 : la Prusse déclare la guerre à la France ! Une fois la stupeur passée, on se réjouit de pouvoir enfin donner à ces êtres frustres la bonne leçon qu'ils méritent. Une seule question fait débat : combien de temps faudra-t-il à l'armée française pour atteindre Berlin ? Quelques jours ? Quelques semaines ? Le jeune Jean, 12 ans, s'enthousiasme avec sa famille, dans laquelle chacun fait surenchère dans la glorification de l'armée française. Jusqu'à ce qu'il se rende compte que la ferveur patriotique de son père, de ses amis et de ses voisins est directement proportionnelle à la distance qui les sépare de l'ennemi. Criant hier « Vive l'empereur ! », ils n'hésitent pas à crier « Vive la République » quand celle-ci est officiellement proclamée. Prêts à verser leur sang jusqu'à la dernière goutte pour la patrie quand l'ennemi était encore aux frontières, ils s'enthousiasment pour la discipline teutonne quand leur ville est envahie, n'hésitant plus à commercer avec le nouveau maître des lieux, et d'obtenir au passage quelques avantages personnels dûment mérités, ou l'élimination de quelques adversaires gênants. (Source : Babélio) |
Darien Georges.
Bas les coeurs !.
Wikisource, 015].
Disponible sur : <https://fr.wikisource.org/wiki/Bas_les_c%C5%93urs_!>, consulté le :
Titre : | Bas les coeurs ! |
Auteurs : | Georges Darien, Auteur |
Type de document : | document électronique |
Editeur : | Wikisource, 015] |
Note générale : |
D'après l'édition de 1898, Paris, Savine. Livre numérique libre de droit. Format html et epub |
Descripteurs : | guerre franco-allemande : 1870 |
Résumé : |
1870 : la Prusse déclare la guerre à la France ! Une fois la stupeur passée, on se réjouit de pouvoir enfin donner à ces êtres frustres la bonne leçon qu'ils méritent. Une seule question fait débat : combien de temps faudra-t-il à l'armée française pour atteindre Berlin ? Quelques jours ? Quelques semaines ? Le jeune Jean, 12 ans, s'enthousiasme avec sa famille, dans laquelle chacun fait surenchère dans la glorification de l'armée française. Jusqu'à ce qu'il se rende compte que la ferveur patriotique de son père, de ses amis et de ses voisins est directement proportionnelle à la distance qui les sépare de l'ennemi. Criant hier « Vive l'empereur ! », ils n'hésitent pas à crier « Vive la République » quand celle-ci est officiellement proclamée. Prêts à verser leur sang jusqu'à la dernière goutte pour la patrie quand l'ennemi était encore aux frontières, ils s'enthousiasment pour la discipline teutonne quand leur ville est envahie, n'hésitant plus à commercer avec le nouveau maître des lieux, et d'obtenir au passage quelques avantages personnels dûment mérités, ou l'élimination de quelques adversaires gênants. (Source : Babélio) |
Nature du document : | fiction |
Genre : | roman |
En ligne : | https://fr.wikisource.org/wiki/Bas_les_c%C5%93urs_! |