La Critique de l'Ecole des femmes
de Molière Wikisource, 2012 En ligne : https://fr.wikisource.org/wiki/La_Critique_de_L%E2%80%99%C3%89cole_des_femmes/%C3%89dition_Louandre,_1910 wikipédia Deux femmes, Uranie (en référence à la muse de l'astronomie) et Élise, reçoivent des connaissances, et tous discutent de la pièce L'École des femmes qu'ils viennent de voir. Chacun possède un avis tranché : les uns ont aimé, les autres non. Dans le camp des «contre», il y a le pédant Lysidas, auteur jaloux du succès de la pièce, le Marquis, personnage sot et prétentieux et Climène, qui affiche une pudeur et une dévotion aisément froissées. Dans le camp des «pour», on trouve Dorante, ami de Molière, homme posé et tranquille, Uranie, la maîtresse de maison, et Élise, femme d'esprit, qui feint de soutenir le parti adverse, soulignant par son approbation indéfectible la faiblesse ou l'ineptie des arguments de ceux-ci. Chacun reste sur ses positions, et l'annonce du souper servi sert de dénouement. Ils s'y rendent tous avec plaisir, chacun étant persuadé d'avoir emporté la discussion et de s'y être montré à son avantage. |
Molière.
La Critique de l'Ecole des femmes.
Wikisource, 2012.
Disponible sur : <https://fr.wikisource.org/wiki/La_Critique_de_L%E2%80%99%C3%89cole_des_femmes/%C3%89dition_Louandre,_1910>, consulté le :
Titre : | La Critique de l'Ecole des femmes |
Auteurs : | Molière, Auteur ; Charles Louandre, Éditeur scientifique |
Type de document : | document électronique |
Editeur : | Wikisource, 2012 |
Note générale : |
D'après la maison d'édition Charpentier, Paris, 1910 Livre numérique libre de droits. Format ePub |
Résumé : |
wikipédia Deux femmes, Uranie (en référence à la muse de l'astronomie) et Élise, reçoivent des connaissances, et tous discutent de la pièce L'École des femmes qu'ils viennent de voir. Chacun possède un avis tranché : les uns ont aimé, les autres non. Dans le camp des «contre», il y a le pédant Lysidas, auteur jaloux du succès de la pièce, le Marquis, personnage sot et prétentieux et Climène, qui affiche une pudeur et une dévotion aisément froissées. Dans le camp des «pour», on trouve Dorante, ami de Molière, homme posé et tranquille, Uranie, la maîtresse de maison, et Élise, femme d'esprit, qui feint de soutenir le parti adverse, soulignant par son approbation indéfectible la faiblesse ou l'ineptie des arguments de ceux-ci. Chacun reste sur ses positions, et l'annonce du souper servi sert de dénouement. Ils s'y rendent tous avec plaisir, chacun étant persuadé d'avoir emporté la discussion et de s'y être montré à son avantage. |
Note de contenu : | comédie en un acte et en prose |
Nature du document : | fiction |
Genre : | comédie/théâtre |
En ligne : | https://fr.wikisource.org/wiki/La_Critique_de_L%E2%80%99%C3%89cole_des_femmes/%C3%89dition_Louandre,_1910 |