Maxime Meilleur et Anaëlle Robelet. La Bouitte à Saint-Martin-de-Belleville : Carnet de recettes salées et sucrées
de Michel Tanguy, Pascal Lattes In Thuriès magazine, 352 (octobre 2023), p. 20-43 En ligne : https://www.la-bouitte.com/fr/ Après plus de 25 ans de collaboration, Maxime Meilleur reprend les rênes de cette maison fondée par son père René en 1976. Le patriarche ne quitte pour autant pas les cuisines. Fidèle au poste à chaque service, mû par une indéfectible passion de cuisinier et peut-être plus encore d'aubergiste, œuvrant au quotidien pour préserver cet esprit de famille si cher à "La Bouitte". Anaëlle Robelet, à l'entendre, ne pouvait trouver meilleure maison pour prendre sa première place de cheffe. Elle possède en effet cette rigueur et cette exigence du détail propres au travail de Maxime et René Meilleur. Elle aime l'intensité du service, la remise en question permanente, la singularité de cette maison familiale au sein de laquelle elle a très vite trouvé sa place. |
Tanguy Michel, Lattes Pascal.
« Maxime Meilleur et Anaëlle Robelet. La Bouitte à Saint-Martin-de-Belleville : Carnet de recettes salées et sucrées »
in Thuriès magazine, 352 (octobre 2023), p. 20-43.
Disponible sur : <https://www.la-bouitte.com/fr/>, consulté le :
Titre : | Maxime Meilleur et Anaëlle Robelet. La Bouitte à Saint-Martin-de-Belleville : Carnet de recettes salées et sucrées (2023) |
Auteurs : | Michel Tanguy, Auteur ; Pascal Lattes, Photographe |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Thuriès magazine (352, octobre 2023) |
Article : | p. 20-43 |
Descripteurs : | gastronomie / pâtisserie / Savoie : département |
Résumé : |
Après plus de 25 ans de collaboration, Maxime Meilleur reprend les rênes de cette maison fondée par son père René en 1976. Le patriarche ne quitte pour autant pas les cuisines. Fidèle au poste à chaque service, mû par une indéfectible passion de cuisinier et peut-être plus encore d'aubergiste, œuvrant au quotidien pour préserver cet esprit de famille si cher à "La Bouitte". Anaëlle Robelet, à l'entendre, ne pouvait trouver meilleure maison pour prendre sa première place de cheffe. Elle possède en effet cette rigueur et cette exigence du détail propres au travail de Maxime et René Meilleur. Elle aime l'intensité du service, la remise en question permanente, la singularité de cette maison familiale au sein de laquelle elle a très vite trouvé sa place. |
Nature du document : | documentaire |
En ligne : | https://www.la-bouitte.com/fr/ |