Arnaud Donckele et Maxime Frédéric. Plénitude-Cheval Blanc Paris : Carnet de recettes salées et sucrées
de Michel Tanguy, Pascal Lattes In Thuriès magazine, 355 (mars 2024), p. 20-43 De ses jeunes années passées chez ses grands-parents à la ferme, Arnaud Donckele conserve un très fort attachement à la terre. Animé par le produit, il l'est encore plus par les sauces : la base de sa cuisine. Car tout commence par là. Ces sauces portent des noms et se composent comme des parfums. Reste ensuite aux cuisiniers à trouver le produit qui s'accordera le mieux. Si Maxime Frédéric n'était pas devenu pâtissier, il serait agriculteur. Mais cet attachement au milieu agricole est avant tout humain, car ce n'est pas tant le meilleur produit que recherche le pâtissier, c'est le sens d'un lien, d'une confiance établie entre les deux partenaires. Une relation fraternelle qu'il tisse avec chacun de ses coéquipiers, et plus encore avec Arnaud Donckele, le chef de Plénitude - Cheval Blanc Paris, pour lequel il dit avoir eu un véritable "coup de foudre". |
Tanguy Michel, Lattes Pascal.
« Arnaud Donckele et Maxime Frédéric. Plénitude-Cheval Blanc Paris : Carnet de recettes salées et sucrées »
in Thuriès magazine, 355 (mars 2024), p. 20-43.
Titre : | Arnaud Donckele et Maxime Frédéric. Plénitude-Cheval Blanc Paris : Carnet de recettes salées et sucrées (2024) |
Auteurs : | Michel Tanguy, Auteur ; Pascal Lattes, Photographe |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Thuriès magazine (355, mars 2024) |
Article : | p. 20-43 |
Descripteurs : | gastronomie / grand cuisinier / Paris / pâtisserie / pâtissier |
Tags : | Donckele, Arnaud : 1977- / Frédéric, Maxime : 1990- |
Résumé : |
De ses jeunes années passées chez ses grands-parents à la ferme, Arnaud Donckele conserve un très fort attachement à la terre. Animé par le produit, il l'est encore plus par les sauces : la base de sa cuisine. Car tout commence par là. Ces sauces portent des noms et se composent comme des parfums. Reste ensuite aux cuisiniers à trouver le produit qui s'accordera le mieux. Si Maxime Frédéric n'était pas devenu pâtissier, il serait agriculteur. Mais cet attachement au milieu agricole est avant tout humain, car ce n'est pas tant le meilleur produit que recherche le pâtissier, c'est le sens d'un lien, d'une confiance établie entre les deux partenaires. Une relation fraternelle qu'il tisse avec chacun de ses coéquipiers, et plus encore avec Arnaud Donckele, le chef de Plénitude - Cheval Blanc Paris, pour lequel il dit avoir eu un véritable "coup de foudre". |
Nature du document : | documentaire |